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mardi 28 février 2012

Chemin en partie élargi

Des messieurs de la communauté de commune sont venus hier pour élargir et terrasser une première partie du chemin :

Voilà qui est davantage accueillant !
Le seul hic, c'est que leur travaux se sont arrêtés en haut de la petite bute... on leur aurait dit à la mairie que ceci était suffisant... Cela se pourrait bien étant donné que l'entrée du chemin fait maintenant ses bons 3 mètres ! Mais derrière, une partie se resserre et ne laisse plus qu'un passage de 2,5m... oui, cela pourrait aller... mais  nous allons tout de même demander à l'adjoint s'il est possible de prolonger ces petits travaux jusqu'à l'entrée de notre terrain, histoire qu'il n'y ait vraiment - et à coup sûr - aucun problème d'accès pour les livraisons diverses. 
C'est encourageant car cela veut dire que l'on pourrait commencer les fondations dès la semaine prochaine et les soubassements dans la foulée !
Entre temps, un autre voisin est venu abattre quelques arbres sur la limite Sud... pour la lumière...
Que de bonnes nouvelles ce matin !


en 2016 







samedi 25 février 2012

Zone d'implantation nettoyée

Notre voisin a encore œuvré en ce samedi matin... et voici, en quelques photos, le résultat :

Un gros tas de terre en plus... et bientôt un autre arbre en moins (le qui penche là, à droite)


Le terrain n'était pas hyper plat mais 20cm suffisaient à le mettre à niveau.
Cette zone est donc prête pour recevoir les fondations et la dalle. Fondations que nous débuterons dès lors que nous serons parvenus à nous faire livrer les graviers (... l'adjoint au maire est passé mercredi dernier : il devrait nous élargir le chemin d'accès dans "les plus brefs délais"...) ! Ces fondations seront de simples tranchées auto-drainantes, c'est-à-dire : une fouille de 40cm de profondeur (la limite hors gel étant ici à 30-40cm) et de 60cm de large, accueillant un premier lit de graviers sur lequel repose un drain servant à évacuer les éventuelles remontées d'eau loin de la maison et de ses murs. Ce drain sera recouvert d'une autre couche de graviers pour atteindre le niveau du sol dur. 
Ensuite, nous nous attaquerons aux soubassements.
D'abord, poser une toile de jute sur les fondations pour éviter que le mortier du mur ne coule vers elles et ne les encrassent - ceci pouvant largement compromettre le drainage. Et là-dessus : une première couche de mortier chaux/sable... et puis des pierres... bref, de la maçonnerie tout ce qu'il y a de plus traditionnel !
On compte deux mois pour les soubassements, se disant que 42 mètres linaires sur 60cm (l) x50cm (h), demanderont beaucoup de travail aux néophytes que nous sommes ! 
L'avenir nous dira si nous avions bien évalué le travail...ou pas ! 
Quant à la dalle, elle sera constituée d'une hérisson ventilé de 30-40cm de hauteur, puis de ses couches successives de terre-paille jusqu'à la couche de finition donnant le sol intérieur (~50cm en tout). Ce travail là est prévu pour... bien plus tard !

En attendant la suite, nous vous présentons nos adorables voisins !



jeudi 23 février 2012

Imaginons la charpente (pour Ugo, compaillon !)

Voici donc les plans pour aider à la charpente :

J'imagine que c'est mieux que rien !

... quelques jours plus tard, après une conversation sur Les compaillons (voir nos liens) rondement menée, voici ce qu'il en est :
La toiture (bac acier) et l'isolation (ouate ou chanvre) choisies ne nécessitent qu'une charpente très légère. Inutiles les chevrons porteurs à entraxes de 50cm ; inutiles les sections costaudes conçues surtout pour des lourdes toitures ! Dans notre cas, 3 sections de 30x8cm de chaque côté de la faîtière assorties d'entretoises faisant office de pannes suffiront largement (puisque légèreté de couverture et reprise de charge à la verticale sous la faîtière grâce aux poteaux porteurs). Notre toit est à 2 pans, respectivement inclinés depuis la faîtière vers le nord (13% de pente) et vers le sud (12,5% de pente). Appelons "arbalétrier" ces grosses poutres/planches faisant office de fausses fermes. Il y aura donc un premier arbalétrier dans la partie nord reposant de part et d'autre sur l'ossature bois (sur le plan : à 3-3,5m en partant de la gauche) - une espèce de demi-ferme. Un autre dans le même esprit au sud, reposant de part et d'autre sur les murs en bauge (sur le plan : à environ 2,5-3m en partant de la droite). Puis, les 4 autres se feront face deux à deux au centre de la maison au niveau des poteaux porteurs. Et le tour est joué ! Si la section est de 30x8 c'est parce qu'il nous faut 30cm d'épaisseur d'isolant, tout bêtement ! Quant aux pannes, nous attendons de savoir quelles sont les recommandations du bac acier en matière de fixation et de portée pour savoir combien il nous en faut (en général, 1 panne tous les mètres c'est suffisant...) et déterminer leur section. Enfin, la faîtière : elle fera la même section que les pannes puisque, aux dires d'Ugo (avec qui nous avons discuté tout ça sur le forum des compaillons), elle portera moins de poids que les pannes ! 
Résultat des courses : on devrait pouvoir s'en sortir sans trop de difficultés (en théorie en tout cas!), à la seule force de nos petits bras et en plus, à moindre coût !
Voilà pour la charpente ! 
Quant à l'ossature, il vous suffit de faire des recherches sur la technique Greb pour comprendre de quoi il s'agit... de regarder le blog de la maison de Benoît et Catherine (dans nos liens) pour l'exemple...
On en reparle dans quelques mois...

samedi 18 février 2012

Les arbres, second tour.

Voilà bien des semaines que nous attendions ça :

Et oui, envolés les peupliers ! Le dernier est en béton...un peu difficile à dessoucher...
Le terrain se vide donc, peu à peu...Bon, pour le moment, c'est pas joli-joli, mais ce n'est pas l'effet recherché!
On devrait pouvoir bientôt commencer mais auparavant, reste à régler un petit problème :
le chemin d'accès est en effet trop étroit pour laisser passer un camion chargé de cailloux ou de pierres ou de bois. Bref, en l'état, nous voilà dans l'impossibilité de nous faire livrer quoi que ce soit qui nécessite un camion. Emmerdant.
C'est le moment d'entamer des tractations douloureuses avec le maire pour obtenir dans les plus brefs délais un empierrement dudit chemin communal - empierrement qu'il est dans l'obligation de réaliser...mais l'obligation stipule-t-elle un délais ? Je vais faire mon enquête bien que, d'ores et déjà, j'imagine que non...
Ce problème, non négligeable, l'est également sous cet autre angle : c'est par ce chemin que s'acheminera l'eau potable desservant notre parcelle... Autant dire que si l'empierrement est réalisé avant les travaux de canalisation, la société qui se chargera de creuser le fameuse tranchée pour le réseau d'eau risque fort de nous demander quelque argent supplémentaire ! 
On serait donc un poil coincé dans tous les sens - mais fallait s'y attendre ! (voilà ce que c'est que de réfléchir à la charpente alors que les fondations ne sont toujours pas faites!)
Alors...peut-être pourrions-nous négocier l'empierrement en deux temps : d'abord l'élargissement de la voie et ensuite seulement (après que l'acheminement de l'eau soit fait - ce qui risque de prendre beaucoup de temps...) l'empierrement à proprement parler. A voir avec le maire donc...
A-t-on bon espoir ?...bien oui...faut bien !